Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Texte Libre

Copier-Coller

3 mai 2015 7 03 /05 /mai /2015 10:15

                                              

                                           

                                                 Michel et Françoise RICCO

    Le musée de l' HISTORIAL AMANDINOIS vous convie a son exposition intitulée ""GRAINES DE POILUS" à partir du 9 mai 2015 jusqu' au 25 mai ,de 14 a 17 heures, 14 rue du Thumelard a STAMAND LES EAUX. pour tous renseignements (tarifset autres) contacter la direction historial.amandinois@gmail.com, ou 0327480228 tarif:3 euros-scolaire: 1 euro.                             

 

                                         &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&

  Avez vous remarqué sur les trottoirs de la ville cette bellle coquille de ST JACQUES ;   vous en trouvez place Jean Jaurés et devant le bureau de tabac de la rue Henri  Durre.  Où sont les autres , probablement rue de Valenciennes , rue Thiers , devant l'Abbaye. La pointe avant indique que l'on se dirige vers l' Abbaye. Nous sommes sur le chemin de pélérinage de ST JACQUES DE COMPOSTELLE en ESPAGNE. Chaque année de nombreux pélerins l' empruntent. Auparavent , cespélerins trouvaient refuge auprés des monastères , couvents , les presbitères .Là , épuisés ,affamés,ils trouvaient gite et couvert avant de reprendre leur pélérinage.Ce dernier est très ancien.                                

                                            

                         la Cathédrale de SAINT-JACQUES DE COMPOSTELLE

 

                                                 

    

 

   Le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle ou pèlerinage de Compostelle est un pèlerinage catholique dont le but est d'atteindre le tombeau attribué à l'apôtre saint Jacques le Majeur, situé dans la crypte de la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle en Galice (Espagne). Créé et instauré après la découverte du supposé tombeau de saint Jacques au début du IXe siècle, le pèlerinage de Compostelle devient à partir du XIe siècle un grand pèlerinage de la Chrétienté médiévale. Mais c'est seulement après la prise de Grenade en 1492, sous le règne de Ferdinand d'Aragon et d'Isabelle la Catholique, que le pape Alexandre VI déclare officiellement Saint-Jacques-de-Compostelle lieu d'un des « trois grands pèlerinages de la Chrétienté », avec ceux de Jérusalem et de Rome. Récemment, l'interprétation du sanctuaire catholique subit une évolution doctrinale : le mot « tombeau » a disparu des discours des derniers papes depuis Jean-Paul II. Jean-Paul II parlant du « mémorial de saint Jacques », sans utiliser le mot « reliques » et Benoît XVI disant simplement que la cathédrale de Compostelle « est liée à la mémoire de saint Jacques ». Les chemins de Compostelle, qui correspondent à plusieurs itinéraires en Espagne et en France, ont été déclarés en 1987 « Premier itinéraire culturel » par le Conseil de l'Europe.Origines :

 

   La coquille Saint Jacques, un des symboles du pèlerinage. Le pèlerinage est né de la découverte, dite miraculeuse, d'un tombeau faite en Galice vers l'an 800. Ce tombeau a été retrouvé par l'ermite Pelagius qui aurait eu une révélation dans son sommeil. Il aurait été guidé par une étoile dans le ciel, d'où une des étymologies avancées pour Compostelle : Campus Stellae ou champ de l'étoile. À la suite de cette révélation mystérieuse et après concertation, l'Église locale déclara qu'il s'agissait du tombeau de l'apôtre Jacques, frère de Jean l'Évangéliste et premier apôtre martyr de la chrétienté. Les premiers écrits mentionnant la prédication de Jacques en Espagne remontent au VIIe siècle. Ils ont été repris au XIIe siècle et incorporés au Codex Calixtinus. L'apôtre Jacques aurait quitté le Proche-Orient au Ier siècle avec pour mission de prêcher la parole du Christ en Occident jusque dans la péninsule Ibérique. De retour en Palestine, il fut décapité sur ordre du roi Hérode Agrippa et sa dépouille, recueillie par ses compagnons, fut portée dans une embarcation. Guidé par un ange, l'esquif franchit le détroit de Gibraltar avant de s'échouer sur les côtes de Galice. Théodomire, évêque d'Iria-Flavia (aujourd'hui Padrón), reconnut ce tombeau comme étant celui de Saint Jacques en 835 et le roi Alphonse II des Asturies y fit édifier une église. Il faudra toutefois attendre l'année 1884 pour que le pape Léon XIII confirme de son autorité, dans la lettre apostolique Deus Omnipotens, la reconnaissance des reliques de saint Jacques faite par l'archevêque de Compostelle.   

   En 1121, en pleine période de croisade (dont la première est lancée en 1095 par le Pape Urbain II à Clermont-Ferrand) et 3 ans après la fondation de l'ordre des Templiers en 1118 à Jérusalem par le pape Pascal II pour protéger le pèlerinage de Jérusalem, le pape Calixte II (dont le frère Raymond de Bourgogne est roi de León et de Galice par mariage avec Urraque Ire de Castille, fille du roi de Castille Alphonse VI de Castille) fait de Saint-Jacques-de-Compostelle un archevêché. Il suscite le rassemblement de textes épars dans un manuscrit connu sous le nom de Codex Calixtinus pour assurer la dévotion à l'Apôtre et assure la promotion de Saint-Jacques-de-Compostelle. Au cours des Xe et XIe siècles, le culte de saint Jacques étroitement lié en Espagne à la Reconquista commence à se répandre grâce à la légende de Charlemagne qui mobilise la chevalerie européenne. Suivant les routes commerciales de leur époque, des pèlerins de Saint-Jacques, de tous rangs, mais surtout nobles, ecclésiastiques et marchands se rendaient en Galice. L'idée de l'existence de voies précises et de lieux de rassemblement (Paris, Vézelay, Le Puy-en-Velay et Arles) est une idée contemporaine basée sur l'édition en 1882 du dernier Livre du Codex Calixtinus qui n'en constitue pas une preuve historique. Les rois de Navarre et de Léon améliorèrent de leur côté les routes et construisirent des ponts afin de faciliter les échanges et le repeuplement du nord de l'Espagne après que les Sarrasins en eurent été chassés. S'ils bénéficièrent aux pèlerins, ces aménagements n'ont pas été faits pour eux. Le dernier livre incorporé au Codex Calixtinus est attribué à un moine poitevin, Aimery Picaud. Il y indique sommairement quatre routes en France, les chemins de Paris, de Vézelay, du Puy et d'Arles qui fusionnent pour trois d'entre eux à Ostabat dans les Pyrénées-Atlantiques, puis à Puente la Reina en Espagne, pour former le camino francés[1]. Il y détaille les étapes, mais donne aussi des renseignements sur les régions traversées et leurs populations. Ce Livre n'a pratiquement pas été connu en Europe avant son édition (en latin) en 1882. C'est Jeanne Vielliard qui lui a donné le titre de Guide du pèlerin dans sa traduction de 1938. Depuis il est considéré, à tort, comme l'ancêtre des guides des pèlerins contemporains.

                     VOUS POUVEZ SUIVRE CETTE LECTURE SUR WIKIPEDIA.fr

 

                                               &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&

      Comme Jean Marie DESANDROUINS ,voyez comment il raconte son pélérinage:

http://www.radiocamino.net/itineraire/bruxelles-sur-les-traces-de-saint-jacques/comment-page-1

        Comme tous les articles ,celui-ci peut être modifié. N' oubliez pas de nous adresser vos histoires sur ST AMAND, nous nous chargeons de les diffuser. Lucien

 

                                                 

Partager cet article
Repost0

commentaires

Articles RÉCents

Liens